« La batterie seule n’est en principe que du bruit » dit Claudio Strüby avec un clin d’œil. Comment en faire de la musique ? C’est la question que le batteur s’est posée toute sa vie et il s’est aventuré hors de sa zone de confort au sein de la section rythmique pour une représentation en solo au Pavillon Le Corbusier. Des sons et des rythmes réduits et répétitifs, que Strüby cherche depuis un certain temps dans le silence de sa chambre, seront présentés ce soir-là. En outre, il a cherché pour cette soirée un soutien visuel auprès de l’artiste de la lumière Ueli von Burg, « pour que le bruit ait bonne allure ».
Claudio Strüby – batterie, Ueli von Burg – lumière
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